Le groupe Amitié-Espérance
Arc-en-Ciel en synode !
Lors de leur dernière rencontre ces personnes éprouvées par la souffrance psychique ou liée à un état dépressif se sont retrouvées pour dirent leur amour de l’Eglise et aussi pour formuler des suggestions afin de changer nos regards et nos pratiques, en particulier envers les plus fragiles…
- Un endroit de prière
- L’ensemble de tous les chrétiens, le Peuple de Dieu
- C’est un lieu ouvert où on peut s’asseoir, lire, même si on n’est pas croyant. C’est un endroit qui appartient à tout le monde. Heureusement que les églises sont ouvertes ! Même s’il y a des vidéos pour les protéger…
- C’est aussi un lieu pour faire les événements, les sacrements, les mariages, les obsèques, …, tout ce qui nous réunit autour de Jésus, les temps festifs autour de Jésus, ou encore les pèlerinages, les groupes de prière, les temps de partage.
- A KTO, ils ont montré « l’Eglise de tout le monde », à Noisy le Grand, bâtie par tous les membres d’ATQ Quart Monde, qui habitent dans les bidonvilles. Tout le monde avait contribué comme il pouvait !
- L’église c’est un lieu pour accueillir les pauvres, le secours catholique, …
- Les cathédrales sont aussi des lieux magnifiques, lieux de culture et d’histoire, des lieux à préserver
- Pour moi, l’église c’est la messe de Noël. Maintenant, il parait qu’il y a beaucoup de messes dans les églises ?
- L’Eglise est un patrimoine qui appartient à tout le monde. Chacun doit y trouver sa place.
- L’Église c’est MOI ! Pas quelqu’un ou quelque chose à côté de moi.
- Quand j’étais enfant, ma grand-mère me disait : « l’Eglise, c’est où Jésus se cache. On essaie de le trouver mais on ne sait pas où il est ». Elle m’emmenait à Noël voir les crèches, en cachette de mon grand-père qui n’aimait pas ça… Pour moi, c’était un vrai Noël. Ça m’a éveillée à la lumière, à la beauté, à la présence de Dieu.
- Ce qui me rend heureuse c’est d’entendre les cloches…
- J’aime les repas partagés dans la salle paroissiale un samedi par mois, toute l’année. Pour les personnes seules, cela donne une vie. Parfois, il y a aussi des non croyants, qui sont contents d’être au repas. L’Eglise accompagne aussi les non croyants, elle est ouverte aux personnes seules.
- Le parcours Agapa, après un deuil périnatal est très important. On a tellement de blessures pour en arriver à l’IVG. Lors des rencontres, parfois les larmes coulent. On nous propose des rituels intéressants, par exemple d’écrire une lettre de réconciliation au bébé. C’est très important pour les personnes victimes d’abus, d’inceste, de viols. Partie de l’Eglise catholique, c’est une association laïque qui est dans l’écoute et l’accompagnement.
L’Eglise accompagne aussi les non croyants, elle est ouverte aux personnes seules.
- Je suis entrée à la paroisse de Cergy à 30 ans, par la petite porte. L’Eglise m’a sauvée de ma détresse. J’ai participé à un groupe de prière à l’église. Un prêtre m’a accueillie et a accompagné ma souffrance. Les scouts aussi qui priaient pour moi. J’ai fait ma demande de Baptême à 32 ans, et avec mon parrain et ma marraine, l’Eglise a guéri ma souffrance et m’a fait grandir.
- A 11 ans, mes oreilles posaient déjà problème et j’étais rejetée de partout. Le mieux dans ma vie de petite fille était d’aller au caté, surtout quand j’ai entendu « Jésus t’aime telle que tu es » Ah bon ! me suis-je dit… Si quelqu’un m’aime comme je suis, il m’intéresse ! A l’époque, même en étant différente, des personnes m’acceptaient comme j’étais, elles acceptaient ma différence. J’ai encore 11 ans aujourd’hui !
- J’étais en recherche depuis déjà longtemps. Je suis arrivée à Pontoise et on m’a dit « Avec les scouts, il y a une petite messe. Ca va te plaire ». J’y suis allée. J’ai été très impressionnée par le silence. Quelque chose m’habitait. J’ai été étonnée par le rituel : on se levait, on s’asseyait, on écoutait, on chantait, etc… Le mot important pour moi a été « Structure ». J’ai tout de suite pensé que l’Eglise était un lieu qui allait me structurer, avec ce rituel qui permettait d’utiliser son corps. La beauté du rituel, ainsi que sa face cachée d’ailleurs, me fascinaient.
- Pour ma part, j’ai fait un cheminement spirituel, pour connaître l’Eglise et son enseignement. Mais sans aller jusqu’au Baptême. Je me posais beaucoup de questions. Mon hospitalisation longue m’y a aussi conduite. Peu à peu je me suis reconstruite, avec l’aumônerie. C’était une nouvelle vie. Tout était joyeux, nouveau – malgré les difficultés. Les médecins eux-mêmes ont observé une reconstruction. Maintenant que je suis stabilisée, ils ont dit que l’équipe d’aumônerie a fait un beau boulot. Ça a transformé mon état psychique.
Certes, il y a eu la médiation de l’équipe, mais tu as consenti à ce qui t’arrivait, à te poser les questions, à cheminer
Et du prêtre accompagnateur aussi ! Si j’avais une question, même une question qui n’était pas liée à la religion, je pouvais lui poser, il me répondait. Je pense tout le temps à lui. Je suis touchée par rapport à ce qu’a dit R. On a des expériences similaires. Ça m’a permis d’accueillir cette joie.. - En écoutant ça, on peut dire que l’écoute est super importante, ainsi que la proximité, la présence, qui ont donné des occasions de rencontre et de partage. Aller vers est super important.
- Oui, j’ai fait ce chemin grâce aux personnes qui sont venues vers moi. Et qui m’ont accompagnée comme je suis !
Je suis entrée à la paroisse de Cergy à 30 ans, par la petite porte. L’Eglise m’a sauvée de ma détresse.
- L’Église, Jésus nous y prend tel qu’on est.
- Moi, quand j’étais enfant, j’étais très timide. Ma mère était très malade quand j’avais 10 ou 11 ans. La directrice de l’école a senti que j’avais du mal à apprendre et elle m’a dit « cet été, des Sœurs viendront. Ce sera comme des amies ». Je me demandais quel était le but. Pour moi, il n’était pas question de quitter ma mère. Alors, quand les Sœurs sont venues, je me suis cachée, je suis partie. Les Sœurs passaient de maison en maison dans mon village. Chez mes parents, elles sont restées au moins 1h et demi… Je suis restée cachée tout ce temps. L’année suivante, elles sont revenues. Ma mère allait de moins en moins bien. Je m’occupais beaucoup d’elle. Le recteur de l’école a été très bienveillant et a dit à ma mère « votre fille fait beaucoup pour vous. Je suis sûr que toute sa vie, elle sera très proche de ceux qui souffrent, qui ont besoin. A 14 ans, je suis partie travailler. Je m’occupais d’une petite fille handicapée pendant que les parents travaillaient. Pourquoi j’étais là ? Cette petite m’a ouvert les yeux sur le handicap. Après, je me suis toujours occupée, ou j’ai été proche de personnes malades de ma famille…
- Oui, c’est tellement important cette compréhension, cette ouverture d’esprit. A l’hôpital, par exemple, le prêtre accompagnateur de l’aumônerie était allé voir une jeune femme en psychiatrie à sa demande. Celle-ci souffrait énormément dans son psychisme et bien que non croyante, elle voulait voir un prêtre. Après l’avoir écouté en lui demandant comment elle allait, le prêtre lui demande ce qu’elle attend de lui plus précisément. La jeune femme répond « je ne sais pas ». Puis le prêtre la laisse après un temps d’échange. La jeune femme a exprimé ensuite à la bénévole de l’aumônerie combien cette visite lui avait fait du bien…
L’Église, Jésus nous y prend tel qu’on est.
- Pour ma part, un souvenir très fort et qui m’a portée, c’est quand j’ai reçu l’effusion de l’esprit ! C’était formidable
- Mon accompagnement au baptême a été une grande grâce avec un couple pendant un an.
- Pareil pour moi, quand j’ai fait ma retraite de première Communion. J’avais des doutes. J’ai été saisie. Je suis tombée à genoux et j’ai pleuré devant tout le monde.
- Je me souviens du jubilé de l’an 2000 et d’une célébration pénitentielle à Argenteuil. Il y avait tout le diocèse. Je me suis sentie faire partie d’un peuple en marche vers Jésus.
- Idem pour moi lors des messes de mon catéchuménat. La cathédrale était pleine. On sentait l’unité.
- Ce qui me rend heureux, c’est l’amitié entre paroissiens. Nous sommes un petit groupe. On se connait, on se rencontre, on s’entraide, on s’invite de temps en temps. Dans ce groupe on peut demander un service à quelqu’un si on a besoin.
- Moi, ce qui m’a plus c’est qu’on nous laisse libres. Un jour j’ai vu le chapelet. Ça m’a plu.
- Il y a une grande richesse : groupes de prière du chapelet ; pèlerinages….
- Les aumôneries d’hôpital c’est très important. Grâce à ça, j’ai pu approfondir ma foi pendant mes 9 années d’hôpital.
- Ce que j’entends me fait rêver. Dans ma paroisse, l’amitié, la fraternité existe, mais au sein des clans. Une fraternité élargie à toute la paroisse n’existe pas.
- Pareil dans ma paroisse. Chacun est avec son clan et les personnes ont beaucoup de mal à parler avec celles qu’elles ne connaissent pas
- Internet coupe beaucoup la relation !
- Beaucoup font toujours pareil : on retrouve les mêmes gens aux mêmes places. Du coup, lors de repas festifs, les clans se retrouvaient. Je n’y suis pas retournée ! Le temps qu’on s’assoie, les places sont déjà prises, chacun a pris la même place que la fois d’avant. J’étais seule ! Comme derrière un mur !
- Ce qui me blesse, c’est le manque de communication. S’il y a des repas ensemble, je ne suis pas toujours avertie. Malgré tout, je ne veux pas faire partie de clans..
- C’est bien que les communautés se retrouvent entre elles parfois, mais en faisant l’effort de s’ouvrir. Par exemple, la communauté portugaise parle dans sa langue. Du coup, ça coupe.
- Dans ma communauté ignacienne à Besançon, je ne ressens pas ça. Au contraire, tout est aménagé pour être ouvert, même pendant les célébrations. La messe est adaptée à tous, quelle que soit la foi des participants, pour que ce soit abordable pour tous. Il y a des chaises longues pour les personnes fatiguées, etc.. Ainsi la messe n’est pas vécue de la même façon. Il n’y a pas de distinction entre les personnes.
Moi, je suis toujours blessée par le manque d’attention aux personnes âgées, exclues, handicapées, fragiles.
- Moi, je suis toujours blessée par le manque d’attention aux personnes âgées, exclues, handicapées, fragiles.
- Il faut toujours me bagarrer pour mettre une affiche du MCR dans l’église
- J’aime l’Eglise mais elle ne doit pas prendre toute la misère du monde sur ses épaules. D’autres en dehors en font beaucoup aussi. Il faut collaborer.
- Je croyais trouver une famille dans l’Eglise. En fait non, il y a beaucoup de gens seuls, qui le restent.
- Il faudrait au moins se dire bonjour !
- On nous dit « L’Eglise de demain, c’est les jeunes ». Du coup, tout est misé sur eux. Il n’y en a que pour eux, avec le KT, l’aumônerie, … En revanche, pour les personnes âgées, le MCR, le SEM, … les personnes différentes. RAS. Par exemple, on m’enlève régulièrement mon affiche pour les malentendants. Ou les affiches pour le bistro du curé, qui rassemble des personnes fragiles.
- Tout le monde devrait avoir sa place. Un papa et son fils porteur de handicap n’étaient pas accueillis. Jusqu’au jour où une sacristine a installé un tapis et des jeux par terre dans l’église.
- Comme quoi donner une place à tous peut passer par de toutes petites choses !
- Dans ma paroisse, on parle beaucoup trop d’argent, à propos de tout et de rien, l’anniversaire du curé, etc… Presque toutes les semaines, il y avait quelque chose. On payait aussi les retours au pays du curé pour ses vacances.
- Pour les services de ménage, de fleurissement, … il faudrait rajeunir les équipes. Je suis choquée qu’on laisse faire des personnes âgées. Ca permettrait aux jeunes de participer.
- Je suggère qu’on laisse une personne porteuse de handicap lire une lecture, même si elle ne lit pas très bien. Ça me toucherait.
- Dans certaines églises, des personnes ont la clé. On a l’impression que c’est leur propriété, et qu’on n’a pas le droit d’entrer.
Je suggère qu’on laisse une personne porteuse de handicap lire une lecture, même si elle ne lit pas très bien. Ça me toucherait.
- Les gens à la messe sont tristes. Peu tapent dans les mains, participent avec plus de joie.
- A la sortie, les gens qui se connaissent sont entre eux. Ils sortent dès que la messe est finie. Si on ne connait personne, on reste seul. Pourquoi ne pas inviter quelqu’un en famille, lui ouvrir sa porte ? Ou faire du covoiturage ?
- C’est dur quand on n’écoute pas les gens qui viennent à la messe, qu’on n’est pas attentifs.
- Il faudrait appeler à des services, en incluant les jeunes
- Depuis quelques semaines à Bezons, a été mise en place « La France qui prie ». Des personnes disent le chapelet dans la rue. Est-ce bien ou non ? Je ne sais pas. Quand les musulmans priaient dans la rue parce qu’ils n’avaient pas de mosquée, on leur a trouvé des lieux de prière
- Il me semble plus important de miser sur la fraternité vraie, par une attention aux personnes, que de se donner ainsi en spectacle.
- Pour moi, c’est une intrusion dans la vie sociale
- Dans ma commune, les chrétiens ont un stand au marché, où on peut avoir la feuille du dimanche suivant. Mais il n’y a pas de distribution, comme des tracts lors des élections
- C’est très important d’accueillir la différence de plus en plus. Par exemple dans les équipes de KT, 50% des enfants différents sont accueillis. Les autres non.
- Moi, je ne vais pas beaucoup dans les groupes, groupes de prière ou d’autres groupes. J’y vais parfois avec une voisine, mais toute seule, je n’y vais pas. Je parle peu. Je n’ai pas d’amis dans l’église, mais surtout à l’extérieur. J’ai besoin d’être accompagnée pour ça.
- Parler de la pastorale santé, distribuer davantage le Journal du handicap
- Mettre des tracts à la Procure, pour le Café rencontre par exemple, ou le journal
- Je crois qu’il faut vraiment simplifier le langage ! Déjà dans l’Eglise, on ne comprend pas tout avec des mots compliqués, mais alors qu’est-ce que ça doit être pour des personnes de l’extérieur !
- Moi, je crois beaucoup à des actions de proximité, dans son propre quartier. Via de petites fraternités.
- Faire de la veille, être vraiment attentif à toute personne, seule, âgée, exclue, etc. L’ouverture à tous est fondamentale.
- Ainsi que la présence. Etre présent au milieu des gens. Alors, le dialogue, la communication passe tous seuls.
- Ne pas avoir peur, accueillir, les personnes qui ne sont pas dans les clous, par exemple, si on est divorcé, si on a un enfant handicapé, si on n’est pas marié, etc.
- Moi, je voudrais que l’Eglise ne soit plus une pyramide comme actuellement, mais que tous puissent travailler les uns avec les autres. Le Pape François voudrait réformer cela, mais il en est pas mal empêché par la curie romaine.
- Parfaitement ! Je rêve d’une Eglise décléricalisée, où le système pyramidal ferait place au sacerdoce des baptisés, qui auraient à être des co-gérants de leur Eglise. Où l’image de piédestal de l’évêque, du prêtre, du diacre, …, serait gommée, sans revenir sur l’ordination. L’Eglise aurait une autre forme de pastorale où chacun serait responsable de ses voisins, en lien avec les prêtres. Une Eglise ouverte sur le monde, qui gommerait les aspérités.
- Comment faire pour que beaucoup s’engagent, alors que peu le veulent. ?
- Il faudrait donner aux femmes plus de responsabilités
- Et donner aux prêtres le choix de se marier ou non
- Oter toutes les « bondieuseries » !
- Supprimer la hiérarchie dans les servants d’autel !
- Former davantage d’accompagnateurs spirituels, y compris des laïcs. Beaucoup souhaitent un accompagnement.
- Motiver les responsables de mouvements ou de groupes, à changer périodiquement et à se former. Sinon, ils finissent par raconter des bêtises, bien qu’étant plein de bonne volonté. Et ça se propage
- Il faudrait donner aux femmes
plus de responsabilités - Et donner aux prêtres le choix
de se marier ou non - Oter toutes les « bondieuseries » !
- Supprimer la hiérarchie
dans les servants d’autel !
- Il faudrait apprendre le discernement aux personnes de l’accueil dans les églises : j’étais allée inscrire ma fille pour son Baptême. Mais nous n’étions pas mariés.. J’avais d’autres enfants. « Etaient-ils baptisés ? » m’a-t-on demandé ? « Non.. » Alors, le verdict : pas de Baptême ! Heureusement, un prêtre est passé par là et a aplani les choses. Je ne pouvais en vouloir à l’accueil qui appliquait les consignes… Mais je n’oublierai jamais cet épisode !
- L’Eglise doit avoir toujours une porte ouverte. Jésus nous y tend les bras avec l’accompagnement des prêtres.
- Je rêve d’une Église où les prêtres seraient des gens comme les autres. Il faut donner un grand coup de pied dedans pour dépoussiérer et abolir les zones de pouvoir et l’argent.
- Le mariage des prêtres devrait être permis
- Il faut donner plus de responsabilités aux femmes.
- Il y a des belles paroles qui ne sont pas suivies d’effet. Promesses non tenues !!
- Il faut donner plus de place aux handicapés, aux mal-voyants, …..
- En Eglise, on propose ; il ne faut pas imposer.
- On a fait des difficultés à ma mère pour mon baptême parce qu’elle ne trouvait pas de parrain. Elle a eu finalement gain de cause. J’ai fait ma communion à 18 ans et j’ai été confirmée.
- Il faut que les prêtres parlent pour les plus démunis.
- J’aimerais être accompagnée à la messe mais personne ne me parle : les gens sont trop enfermés sur eux-mêmes. Alors je la regarde à la TV
- Le confinement a arrêté les messes de semaine. Il faut refaire les liens.
- Dans l’ensemble l’Eglise est présente dans les lieux de vie. Mais il y a quelquefois des manques de relations.
Recueilli par Geneviève Robert
Mars 2022
Équipe diocésaine pour le synode
synode@catholique95.fr
Tél. 01 30 38 34 24
Synode : participez
à la consultation !
Ne passez pas
à côté du Synode !
Mgr Stanislas Lalanne répond à trois questions sur le Synode et lance un appel fort à tous les baptisés du Val-d’Oise, jeunes et moins jeunes: « ne passez à côté du Synode ! ». Voir la vidéo…
En savoir plus sur
« Amitié Espérance – Arc en Ciel »
Amitié-Espérance-Arc-en-Ciel propose une présence auprès de personnes éprouvées par la souffrance psychique ou liée à un état dépressif.
Le mouvement rassemble des personnes qui témoignent de l’amitié et de l’Espérance au cœur même de leur fragilité. Il se veut un lieu d’accueil, d’écoute, de partage, de rencontres, au travers des expériences de la vie ordinaire. Il permet de cheminer au sein d’un groupe, composé d’accompagnants et de personnes fragiles. L’isolement peut ainsi être brisé. Le groupe est un espace convivial où chaque personne est accueillie, écoutée…
Pour que chacune conserve toute sa dignité et prenne sa place dans la société et dans l’Église. Ce mouvement diocésain est sous la responsabilité du Service de la Pastorale de la Santé du diocèse de Pontoise.